La coopération commerciale fictive est une pratique frauduleuse ou trompeuse consistant à simuler ou à falsifier des transactions, des opérations, ou des échanges commerciaux entre des entreprises ou des partenaires dans le but de manipuler ou de fausser les résultats financiers, comptables, ou fiscaux des parties concernées, de bénéficier indûment d’avantages ou de subventions, de contourner des règles ou des obligations légales, ou de tromper les investisseurs, les autorités, ou les tiers sur la réalité ou la légitimité des activités ou des performances des entreprises ou des partenaires impliqués dans la coopération commerciale fictive. La coopération commerciale fictive peut prendre différentes formes et techniques, telles que la facturation fictive, les opérations d’achats ou de ventes fictives, les transferts de fonds ou de marchandises fictifs, les prestations ou les services factices, les contrats ou les accords bidon, les sociétés écrans, les comptes offshores, les manipulations comptables ou fiscales, les faux témoignages ou les fausses déclarations, les fausses preuves ou les faux documents, ou d’autres méthodes visant à dissimuler, à détourner, ou à dissimuler des flux financiers, des revenus, ou des actifs illégaux, non conformes, ou non déclarés au regard des lois, des réglementations, ou des pratiques commerciales et comptables en vigueur dans les pays ou les juridictions concernées. La coopération commerciale fictive constitue une infraction grave et répréhensible qui peut entraîner des sanctions pénales, civiles, ou administratives pour les auteurs, les complices, ou les bénéficiaires de ces pratiques frauduleuses, ainsi que des dommages financiers, réputationnels, ou juridiques pour les victimes, les partenaires, ou les tiers lésés par ces agissements illicites ou déloyaux dans les affaires ou les transactions commerciales.